Forte d’une précédente expérience, Virginie revient à la sculpture par la terre: la découverte du grès noir, chamotté dans lequel elle retrouve l’aspect des coulées de lave du volcan Fogo.
Un retour au volume qui prolonge sur certaines thématiques des années de recherches photographiques.
« J’aime changer de médium et me fiche des lignes artistiques. »
Virignie porte attention aux lignes de plans qu’elle travaille en bas reliefs sculptés en grès brut ou grès blanc émaillé, aux lignes épurées de pièces artisanales à vocation ornementale, aux lignes de mots pour La Grande Pompe où elle revisite le registre de l’épitaphe et la fabrication de plaques funéraires singulières. Son atelier où elle navigue à l’envie et à la commande entre différents types de créations est dans un lieu partagé où se croisent et collaborent artisans, restaurateurs en patrimoine, scientifiques, designers. Des sources d’inspiration précieuses pour Virginie.